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DISTINGUEZ LE VRAI DU FAUX
Cliquez sur cette coupure du journal VRAI de Jacques Hébert. Et comparez les propos qui y sont rapportés à ceux du juge Brossard au sujet des jeeps et des déclarations du sergent Doyon. Exprimez votre réaction.
DISTINGUISH TRUTH FROM FALSEHOOD
Click on this clipping of Jacques Hébert's newspaper VRAI. And compare what justice Brossard writes about jeeps and sergeant Doyon's declarations to what is reported in it. Let your reaction be known.
6 commentaires:
C'est très difficile à lire cet article , vous devriez en magnifier les caractères pour plus de clarté .
Me Maher était un fieffé menteur et le sergent Doyon malgré tout le respect qu'il mérite , n'avait pas inventé les boutons à quatre trous . Quant à Me Hébert ...
pas besoin d'en dire plus , c'était son journal , sa vérité ;
VRAI ,PAS VRAI ,aucune différence ,tant que cà paie !!!
J'ai grossi la coupure. Je suis d'accord avec vous. La lecture de ce texte n'est pas facile.
VRAI, le fameux journal d'Hébert, aurait dû s'appeler FAUX.
Hébert a toujours eu un gros problème: haine viscérale de l'autorité.
Me Fortin,
Je vois que vous avez dû supprimer deux messages à la suite de votre billet du 5 octobre. Rien d'étonnant là-dedans : vous faites un travail qui dérange bien des menteurs.
Merci de nous montrer la face cachée de cette affaire.
J. Hébert a leurré des milliers de personnes. Je me souviens d'avoir lu ses livres sur Coffin quand j'étais jeune et j'avais trouvé extraordinaire. Plus tard avec plus d'expérience de la vie et de sens critique, j'ai relu ça et j'ai trouvé ça cette fois pas mal moins solide son affaire. Finalement c'est vous monsieur Fortin qui êtes venu confirmer mes doutes et qui m'a fait comprendre à quel point Hébert avait mené une enquête pas sérieuse du tout et même malhonnête. C'est triste pour la famille Coffin qui essaye de le réhabiliter, je suis contre la peine de mort mais Coffin a eu un procès juste.
Quant à son avocat Gravel, il faut le comprendre et il n'était tout de même pas pour dire que son client était coupable même si d'après moi il était convaincu dur comme fer de sa culpabilité.
René Bigras
Monsieur Bigras,
Je suis aussi l'un de ceux que Jacques Hébert a berné. Ce n'est évidemment pas le rôle d'un avocat de révéler que son client est coupable du meurtre dont on l'accuse. Cependant, il doit le défendre en utilisant tous les moyens que la loi met à sa disposition. C'est à ce chapitre que les questions d'éthique et de déontologie surviennent.
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