31 janvier 2008

LA POMPE À ESSENCE RETROUVÉE CHEZ LA MAÎTRESSE DE COFFIN À MONTRÉAL THE GAS PUMP THAT THE POLICE FOUND AT COFFIN'S MISTRESS IN MONTREAL


Je vous parlerai de cette pompe prochainement. Wilbert Coffin avait acheté cette pompe (avec l'argent de Lindsey, père) pour remplacer la pompe dite défectueuse de la camionnette d'Eugene Lindsey. La police l'a retrouvée dans l'appartement de sa concubine Marion Petrie à Montréal. (à suivre)
I shall tell you more about this gas pump later on. Coffin bought this new pump (with Eugene Lindsey's money) to replace the defective gas pump of Eugene Lindsay's pick-up. The police found this new pump in Marion Petrie's appartment in Montréal. (to be continued)

6 commentaires:

Anonyme a dit...

why did coffin buy the pumb? did mr. Eugene Lindsey have no money??

Anonyme a dit...

In his statutory declaration of August 6th,1953, Coffin said:"I towed them down to the bottom of the hill, and we worked at the truck and we found the pump was no good on it, and I told them then that I'd bring one of them out here to Gaspé to get a new pump. The young fellow (Richard Lindsey) came out with me. Eugene Lindsey had given his son some money. It is the young Lindsey who obviously paid for that pump. I explain this situation in full details in my book L'affaire Coffin: une supercherie? (The Coffin Affair: A Hoax?)

Anonyme a dit...

Jacques Hébert a très peu parlé de cette pompe retrouvée chez la maîtresse. Cherchait-il à cacher tout ce qui compromettait Coffin?

Anonyme a dit...

La plupart des défenseurs de Coffin ne font pas mention de cette fameuse pompe même si elle est un des éléments clés de l'affaire.
Il existe un blog d'un certain Stoddard sur Coffin. Il décrit son travail avec ce beau pléonasme "une tâche énorme aux proportions monumentales". Il dit avoir retourné chaque pierre relative à l'affaire. La pompe à essence est une des pierres qu'il a oublié de retourner.

Now my translation:
Coffin's advocates rarely stress the fuel pump even if it is an essential part of the puzzel. One of them is a blogger by the name of Stoddard who describes his work with this delightful pleonasm "an enormous task of monumental proportions" and says that he has "turned over each and every stone" related to the case. The fuel pump is one of the stones he missed.

Anonyme a dit...

Maître Fortin,
Jusqu'à ce que je lise votre livre, je croyais Coffin innocent ou un vague complice du meurtre des trois américains. Mais vous m'avez fait changé d'idée. La preuve est mur à mur. J'ai compris qu'on avait été très mal informé sur cette affaire, tant par Jacques Hébert que par le cinéaste dont j'oublie le nom et qui a fait un film là-dessus. Il y a bien eu la commission Brossard mais ses conclusions n'ont pas été très médiatisées et le doute est resté dans l'esprit des gens. Comment se fait-il que les conclusions de cette commission ont si peu retenu l'attention ?

Anonyme a dit...

Monsieur Bégin,
Le nom du cinéaste dont vous ne vous souvenez pas du nom est Jean-Claude Labrecque. J’ai affiché sur ce blogue plusieurs extraits du Rapport Brossard dont la Partie III sous le titre L’AFFAIRE COFFIN : UNE SUPERCHERIE – LES MÉDIAS EN SONT RESPONSABLES. Parmi les responsables de cette supercherie, le juge Brossard identifie le Daily Star, le Toronto Evening Telegram et CBC. Du côté francophone, selon le juge Brossard, La Presse, le Nouveau Journal, Radio-Canada et Télé-Métropole comptent parmi ces responsables. Jacques Hébert savait aussi que le juge Brossard n’irait pas le confronter sur la place publique étant donné son devoir de réserve. Il avait le champ libre. Il a pu dire n’importe quoi avec la complicité des médias. Le ministère de la Justice est aussi fautif. Il a publié un rapport inaccessible au grand public. Un rapport destiné aux tablettes. De plus, en empêchant les chercheurs de consulter des documents frappés de huis clos et les dossiers de police, le Ministère contribue à entretenir de la suspicion sur cette affaire. Pourtant, la Commission Brossard avait le mandat de faire toute la lumière sur cette affaire.