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EST-CE POSSIBLE DE CONFONDRE UNE STATION WAGON (FAMILIALE) AVEC UNE JEEP QU'ELLE SOIT DE « COULEUR FONCÉE OU JAUNE »?
LORNE PATTERSON CORROBORE LE TÉMOIGNAGE QUE LA MÈRE DE WILBERT COFFIN A RENDU DEVANT LA COMMISSION BROSSARD. RAPPELONS-NOUS QUE SON FILS WILBERT LUI AVAIT DIT QU’IL AVAIT VU UNE STATION WAGON. RELISEZ LE TÉMOIGNAGE DE LA MÈRE DE COFFIN QUE J’AI AFFICHÉ SUR MON BLOGUE LE 21/05/08.
LISEZ AUSSI CET INTÉRESSANT EXTRAIT DU RAPPORT BROSSARD ET NOTEZ LES INEXACTITUDES QUE LE JUGE BROSSARD RELÈVE DANS LA VERSION ANGLAISE DU LIVRE DE JACQUES HÉBERT DE MÊME QUE CELLES DE BELLIVEAU DANS SON LIVRE THE COFFIN MURDER CASE.
LORNE PATTERSON CORROBORE LE TÉMOIGNAGE QUE LA MÈRE DE WILBERT COFFIN A RENDU DEVANT LA COMMISSION BROSSARD. RAPPELONS-NOUS QUE SON FILS WILBERT LUI AVAIT DIT QU’IL AVAIT VU UNE STATION WAGON. RELISEZ LE TÉMOIGNAGE DE LA MÈRE DE COFFIN QUE J’AI AFFICHÉ SUR MON BLOGUE LE 21/05/08.
LISEZ AUSSI CET INTÉRESSANT EXTRAIT DU RAPPORT BROSSARD ET NOTEZ LES INEXACTITUDES QUE LE JUGE BROSSARD RELÈVE DANS LA VERSION ANGLAISE DU LIVRE DE JACQUES HÉBERT DE MÊME QUE CELLES DE BELLIVEAU DANS SON LIVRE THE COFFIN MURDER CASE.
LA SEMAINE PROCHAINE, IL SERA QUESTION DE LA JEEP VUE PAR LE DOCTEUR ET MADAME E.W. WILSON
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RAPPORT DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE BROSSARD SUR L’AFFAIRE COFFIN (27 NOVEMBRE 1964)
VOL. 1 CHAPITRE 5 (Huitième partie)
LA JEEP DONT LA PRÉSENCE EN GASPÉSIE OU AUX ENVIRONS AURAIT ÉTÉ CONSTATÉE PAR DES TÉMOINS OCULAIRES À L’ÉPOQUE OÙ LES CRIMES FURENT COMMIS.
-VI –
LA PRÉTENDUE JEEP QUE LORNE J. PATTERSON AURAIT VUE.(suite de la page 161 du rapport Brossard)
M. Lorne J. Patterson a témoigné devant cette Commission à l’effet suivant :
Un jour du début de juin, vers les sept heures du matin, une station-wagon dont il ne se souvient pas de la couleur et qui portait une licence américaine s’est arrêtée à son garage ; elle n’avait qu’un seul passager, un homme d’environ 170 livres avec des cheveux gris qui lui déclara qu’il s’en allait à la pêche au saumon sur la rivière St-Jean ; cet homme ne nomma personne.
Il est impossible qu’il confonde une station-wagon avec une jeep.<>
VOL. 1 CHAPITRE 5 (Huitième partie)
LA JEEP DONT LA PRÉSENCE EN GASPÉSIE OU AUX ENVIRONS AURAIT ÉTÉ CONSTATÉE PAR DES TÉMOINS OCULAIRES À L’ÉPOQUE OÙ LES CRIMES FURENT COMMIS.
-VI –
LA PRÉTENDUE JEEP QUE LORNE J. PATTERSON AURAIT VUE.(suite de la page 161 du rapport Brossard)
M. Lorne J. Patterson a témoigné devant cette Commission à l’effet suivant :
Un jour du début de juin, vers les sept heures du matin, une station-wagon dont il ne se souvient pas de la couleur et qui portait une licence américaine s’est arrêtée à son garage ; elle n’avait qu’un seul passager, un homme d’environ 170 livres avec des cheveux gris qui lui déclara qu’il s’en allait à la pêche au saumon sur la rivière St-Jean ; cet homme ne nomma personne.
Il est impossible qu’il confonde une station-wagon avec une jeep.<>
Il n’a jamais vu une jeep jaune avec deux Américains.
Il n’a jamais déclaré à personne que quelqu’un dans une jeep de ce genre se serait enquis quant à d’autres personnes du nom de Lindsey.
À la demande de Madame Albert Coffin, il se rendit à Percé à l’époque du procès, mais il n’y fut pas questionné par personne dans la boîte aux témoins.
Il connaissait madame Coffin depuis de nombreuses années, mais n’a jamais connu Wilbert.
Il croit que c’est plutôt Leslie qui lui a téléphoné de la part de sa mère, madame Coffin.
À son arrivée, c’est par Me Maher qu’il fut interviewé ; plusieurs semaines auparavant, il avait vu Me Maher à son garage ; Me Maher s’était enquis auprès de lui s’il y avait un bon chemin conduisant à Murdochville en provenance de Rivière Madeleine où se trouvait situé le garage de Patterson. À cette occasion, Me Maher ne s’enquit nullement d’une jeep. Il ne le revit plus jusqu’à Percé.
À Percé, il parla non seulement à Me Maher, mais également à madame Coffin.
Me Maher le questionna au sujet d’une jeep jaune et il lui déclara qu’il n’en avait jamais vu auparavant ni depuis.
Il n’a jamais déclaré à personne que quelqu’un dans une jeep de ce genre se serait enquis quant à d’autres personnes du nom de Lindsey.
À la demande de Madame Albert Coffin, il se rendit à Percé à l’époque du procès, mais il n’y fut pas questionné par personne dans la boîte aux témoins.
Il connaissait madame Coffin depuis de nombreuses années, mais n’a jamais connu Wilbert.
Il croit que c’est plutôt Leslie qui lui a téléphoné de la part de sa mère, madame Coffin.
À son arrivée, c’est par Me Maher qu’il fut interviewé ; plusieurs semaines auparavant, il avait vu Me Maher à son garage ; Me Maher s’était enquis auprès de lui s’il y avait un bon chemin conduisant à Murdochville en provenance de Rivière Madeleine où se trouvait situé le garage de Patterson. À cette occasion, Me Maher ne s’enquit nullement d’une jeep. Il ne le revit plus jusqu’à Percé.
À Percé, il parla non seulement à Me Maher, mais également à madame Coffin.
Me Maher le questionna au sujet d’une jeep jaune et il lui déclara qu’il n’en avait jamais vu auparavant ni depuis.
Après l’entrevue du matin, M Maher ne lui parla plus.
Après avoir appris que le procès était terminé, il s’en retourna chez lui.
Il a connu autrefois un homme du nom de Jackie Hackett qui est peut-être John Hackett, mais il ne l’a pas vu depuis des années.
Il ne croit pas connaître un entrepreneur du nom de John Hackett.
Il nie avoir parlé avec un monsieur Hackett des Américains qui furent tués en brousse et ne lui a certainement pas dit qu’une jeep était arrêtée à son garage ni que le conducteur d’une telle jeep se serait enquis au sujet d’un party de Lindsey.
Un an après le procès, soit en 1955, quelqu’un l’a appelé de Toronto ; cette personne préparait un livre ; ce quelqu’un s’enquit auprès de Patterson pour savoir s’il avait vu une jeep et qui l’occupait.
Il y a deux ou trois ans, un monsieur Doyon est allé le voir en lui déclarant qu’il faisait enquête sur la cause de Coffin.
M. Doyon le questionna au sujet de la jeep encore et Patterson lui déclara qu’il n’en avait pas vu.
Contrairement à ce qu’écrit monsieur Hébert dans l’édition anglaise de son volume où il affirme que Lorne Patterson lui avait déclaré avoir vu une jeep le 11 juin 1953, M. Patterson déclare n’avoir jamais fait de telle déclaration à qui que soit pour la bonne raison qu’il n’a jamais vu de jeep.
Contrairement à ce qu’affirme monsieur Beliveau dans son volume à la page 100, quant à un affidavit que Patterson aurait donné aux avocats de Coffin relativement à une jeep de couleur jaune en plywood sur les côtés et dont les occupants se seraient enquis de Lindsey, Lorne Patterson affirme catégoriquement qu’il n’a jamais signé de telle déclaration, qu’il n’en a pas fait aux avocats de Coffin et qu’il n’a pas signé d’affidavit.
Il n’a certainement pas déclaré avoir signé tel affidavit à la personne qui l’a appelé de Toronto.
Dans un témoignage qu’elle rendit devant cette Commission, madame ALBERT COFFIN prétendit qu’avant le procès, elle se rendit à Rivière Madeleine pour y avoir une entrevue avec Patteson qui lui déclara qu’en autant qu’il se souvenait, il avait vu « such a station-wagon…with two men in it, two Americans and they had stayed all night at the hotel » et que la statio-wagon n’avait pas de peinture et était de couleur naturelle.
« We gave that information to Mr Maher” dit madame Coffin, “who did not seem to be very much interested.”
Elle ne croit pas qu’a cette occasion, Me Maher lui ait mentionné que son fils avait parlé d’une jeep plutôt que d’une station-wagon.
Me Maher confirma devant cette Commission avoir reçu de monsieur Patterson des informations substantiellement identiques à celles que monsieur Patterson communiqua lui-même à la Commission, les avoir trouvées « anodines et guère susceptibles de pouvoir servir à la défense »,
Et monsieur John Hackett confirma lui aussi n’avoir jamais parlé de jeep avec Lorne Patterson ni n’avoir déclaré à quiconque en avoir parlé.
Il est manifeste que le véhicule aperçu par Patterson n’a pu avoir aucune relation que ce soit avec celui que Coffin a prétendu voir.
On serait presque tenté de croire à une fumisterie.
Sont donc absolument inexactes les affirmations du livre de monsieur Hébert que « Lorne Patterson a déclaré avoir vu une jeep semblable le 11 juin 1953 » et dont « les deux Américains avaient demandé des renseignements au sujet des Lindsey » et que « John Hackett est sûr d’avoir vu la même jeep ». (à suivre)
LA SEMAINE PROCHAINE, IL SERA QUESTION DE LA JEEP VUE PAR LE DOCTEUR ET MADAME E.W. WILSON
Après avoir appris que le procès était terminé, il s’en retourna chez lui.
Il a connu autrefois un homme du nom de Jackie Hackett qui est peut-être John Hackett, mais il ne l’a pas vu depuis des années.
Il ne croit pas connaître un entrepreneur du nom de John Hackett.
Il nie avoir parlé avec un monsieur Hackett des Américains qui furent tués en brousse et ne lui a certainement pas dit qu’une jeep était arrêtée à son garage ni que le conducteur d’une telle jeep se serait enquis au sujet d’un party de Lindsey.
Un an après le procès, soit en 1955, quelqu’un l’a appelé de Toronto ; cette personne préparait un livre ; ce quelqu’un s’enquit auprès de Patterson pour savoir s’il avait vu une jeep et qui l’occupait.
Il y a deux ou trois ans, un monsieur Doyon est allé le voir en lui déclarant qu’il faisait enquête sur la cause de Coffin.
M. Doyon le questionna au sujet de la jeep encore et Patterson lui déclara qu’il n’en avait pas vu.
Contrairement à ce qu’écrit monsieur Hébert dans l’édition anglaise de son volume où il affirme que Lorne Patterson lui avait déclaré avoir vu une jeep le 11 juin 1953, M. Patterson déclare n’avoir jamais fait de telle déclaration à qui que soit pour la bonne raison qu’il n’a jamais vu de jeep.
Contrairement à ce qu’affirme monsieur Beliveau dans son volume à la page 100, quant à un affidavit que Patterson aurait donné aux avocats de Coffin relativement à une jeep de couleur jaune en plywood sur les côtés et dont les occupants se seraient enquis de Lindsey, Lorne Patterson affirme catégoriquement qu’il n’a jamais signé de telle déclaration, qu’il n’en a pas fait aux avocats de Coffin et qu’il n’a pas signé d’affidavit.
Il n’a certainement pas déclaré avoir signé tel affidavit à la personne qui l’a appelé de Toronto.
Dans un témoignage qu’elle rendit devant cette Commission, madame ALBERT COFFIN prétendit qu’avant le procès, elle se rendit à Rivière Madeleine pour y avoir une entrevue avec Patteson qui lui déclara qu’en autant qu’il se souvenait, il avait vu « such a station-wagon…with two men in it, two Americans and they had stayed all night at the hotel » et que la statio-wagon n’avait pas de peinture et était de couleur naturelle.
« We gave that information to Mr Maher” dit madame Coffin, “who did not seem to be very much interested.”
Elle ne croit pas qu’a cette occasion, Me Maher lui ait mentionné que son fils avait parlé d’une jeep plutôt que d’une station-wagon.
Me Maher confirma devant cette Commission avoir reçu de monsieur Patterson des informations substantiellement identiques à celles que monsieur Patterson communiqua lui-même à la Commission, les avoir trouvées « anodines et guère susceptibles de pouvoir servir à la défense »,
Et monsieur John Hackett confirma lui aussi n’avoir jamais parlé de jeep avec Lorne Patterson ni n’avoir déclaré à quiconque en avoir parlé.
Il est manifeste que le véhicule aperçu par Patterson n’a pu avoir aucune relation que ce soit avec celui que Coffin a prétendu voir.
On serait presque tenté de croire à une fumisterie.
Sont donc absolument inexactes les affirmations du livre de monsieur Hébert que « Lorne Patterson a déclaré avoir vu une jeep semblable le 11 juin 1953 » et dont « les deux Américains avaient demandé des renseignements au sujet des Lindsey » et que « John Hackett est sûr d’avoir vu la même jeep ». (à suivre)
LA SEMAINE PROCHAINE, IL SERA QUESTION DE LA JEEP VUE PAR LE DOCTEUR ET MADAME E.W. WILSON
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29 commentaires:
Me Fortin ,
La réponse est OUI !
Allez sur le site :
http://www.film.queensu.ca/CJ3B/Siblings/Wagon.html .
Vous y verrez, en couleurs ,un Jeep Station Wagon , couleur naturel ???
avec , sur les cotés , du veneer
de couleur jaune .
Ce modèle de Jeep serait idéal pour des gens, des chasseurs , des tueurs , et leurs bagages voyageant sur de longues distances ,bien meilleur qu'un petit Jeep des surplus de guerre .
Je suis allé voir la jeep station wagon à laquelle vous me référez.
Avez-vous lu tout l'extrait du rapport Brossard à ce sujet. Je vous signale que Patterson est un garagiste. Ce serait étonnant qu'il ne puisse pas distinguer une jeep avec une station wagon et même une jeep station wagon.
J'ai omis de vous signaler que cette jeep station wagon est l'une de celles que je présente sur ce blogue.
Me Fortin ,
La quatrième photo , en noir et blanc , en tête de votre article ,je vous l'accorde ,montre bien un Jeep Station Wagon mais vous serait-il possible de faire figurer en place de votre troisième photo ,qui,sans vous offusquer n'y trouve réellement pas sa place , imaginez , un pareil carosse , tout chromé , avec des pneux à large flancs blancs , avec des jupes d'ailes aux roues arrières et peut-être un continental kit avec un couvert de roue de secours chromé à l'arrière , tout un rig pour aller à la chasse en forêt gaspésienne ,donc , la remplacer par la photo en couleurs de la
CJ3B montrée sur le site en question .
Merci de ce gracieux attention qui soulèvera la polémique .
Me Fortin ,
Vous montrez sur la photo #|
un Jeep typique des surplus de guerre , chaussé de ses pneux militaires d'origine .Aux États-Unis et au Canada ,partout , les vétérans , les passionnés de 4x4 , les garagistes , les divers entrepreneurs en forêt et autres utilisateurs faisaient l'acquisition à peu de frais de ces véhicules dans les années 46-51 , pour se garder dans les années des évênements des meurtres des trois chasseurs américains .
Ces pneux militaires d'origine n'avaient pas la vie longue ; c'est pourquoi on les remplacaient par des pneux d'hiver réguliers comme
ceux montrés sur votre photo # 2 .
Les traces de ces pneux de Jeep prendront toute leur importance dans le déroulement du procès .
Me Fortin ,
J'aimerais que vous nous apportiez plus d'informations sur ce Lorne Patterson .Le témoignage de la mère de Coffin sur le fait que Patterson lui eut confirmé avoir vu `` such a vehicule with two americans whom had stayed at the hotel overnight '' me dérange . Patterson et la mère de Coffin se connaissaient bien .Pourquoi lui aurait-il menti ?
Me Fortin
Il y a bel et bien un chemin carossable construit et entretenu par la compagnie forestière de Madeleine dans les années 50 menant de Rivière Madeleine vers Murdockville . Cette route aboutit sur la route 198 menant de Gaspé à Murdockvile . Cette route forestière a la particularité que quiconque l'emprunterait n'aurait pas à
être contrôlé à l'une ou l'autre des barrières et donnerait libre accès à la zone des anciens camps sur la rivière St-Jean , les lieux des meurtres .
Me Fortin
J'ai relu la déposition de la mère de Coffin .Elle y affirme que son fils Wilbert lui a bien spécifié que le véhicule qu'il a vu avec le groupe d'américains était un station wagon .Il existe plusieurs modèles de station wagon jeep . Coffin en a vu maints et maints quand il était dans l'armée . Certains servaient au transport de la nourriture ,des modèles station wagon panel , Coffin travaillait au ravitaillement , à la cuisine des armées .Il est mieux placé que quiconque pour déterminer si le véhicule qu'il a vu est un simple jeep ou un jeep station wagon . Ceux qui le questionnaient n'avaient probablement pas ces connaissances des modèles précis ,
de là tout cet imbroglio .
Me Fortin
Quand nous ferez vous partager les témoignages entendus à huis clos lors des audiences de la commission Brossard ?
Pourriez vous dès maintenant nous donner la liste des personnes ayant ainsi témoignés ,sans nécessairement nous dévoiler maintenant le contenu de leurs témoignages ?
Me Fortin
Juste une petite précision sur les Jeep Station Wagon de type
CJ3B de type Woody ( panneaux latéraux en imitation de bois ).
Ceux-ci n'étaient pas des véhicules militaires ordinaires mais des modèles de luxe propriétés de riches propriétaires . Ils n'étaient pas chaussés de pneux de type militaires mais de confortables pneux tels qu'on en retrouve aujourd'hui sur des Jeep Grand Cherokee .
Je vous invite à consulter ce lien. On y fait l'historique de la station wagon ou la familiale si vous préférez. C'est de ce véhicule dont il est question ici.
http://www.collectorcarmarket.com/content/profiles/station_wagons/postwar_station_wagons.htm
M. Fortin ,
Votre question précisément est donc celle-ci:
Est-ce possible ( pour un garagiste supposément expérimenté tel Lorne Patterson ) de confondre une Jeep avec une station wagon ?
Si ce même garagiste affirme à la mère de Wilbert Coffin que oui ,
qu'il a bien vu une station wagon semblable avec un ou deux américains au volant , je crois que c'est possible .
Si , de plus , celui-ci s'ouvre la trappe et en remet ,à des reporters , des avocats et autres personnes pour faire l'intéressant ,cà aussi , je le crois possible .
Qu'est-il arrivé ou quel sérieux conseil a été donné à ce garagiste pour qu'il se la ferme et nie devant la cour ses vantardises ,cà me fait peur .
Me Fortin ,
Vous répondez vous même à votre question et c'est ce qui est le plus drôle .Relisez votre premier paragraphe
Un jour du début de juin, vers les sept heures du matin, une station-wagon dont il ne se souvient pas de la couleur et qui portait une licence américaine s’est arrêtée à son garage ; elle n’avait qu’un seul passager, un homme d’environ 170 livres avec des cheveux gris qui lui déclara qu’il s’en allait à la pêche au saumon sur la rivière St-Jean ; cet homme ne nomma personne.
Il est impossible qu’il confonde une station-wagon avec une jeep.<>
Il a donc vu une station wagon sacrebleu pas un jeep ,avec un américain à l'intérieur qui venait faire le plein d'essence . Comme cet américain avait couché à l'hotel accompagné d'un autre américain , il serait logique que celui-ci retourne à l'hôtel pour y prendre son compagnon et partir par je ne sais quel chemin pour se rendre pêcher le saumon sur la rivière st-Jean .
En passant , les policiers ont-ils vérifier les régistres des trois hôtels à Rivière Madeleine pour y retrouver les noms de ces gens ? Cà devrait figurer dans les rapports d'enquête de police ,non ?
Me Fortin ,
Relativement aux traces de pneux ,
plus que désespérément recherchées sur les lieux des meurtres , je veux dire ,des traces typiques de pneux militaires ,ceux chaussés par le véhicule sur la photo # 1 , ceux-ci étaient très étroits et la surface d'adhérence du pneu était ronde et dentelée , ce qui laissait une trace reconnaissable entre mille autres .
Les Jeep vendus dans les surplus de guerre étaient déjà vieux et en plus ou moins bon état datant les années 39-45.
Les pneux étaient de même et étaient rapidement remplacés par des pneux d'hiver conventionnels ,
tels que visibles sur le Jeep de la photo # 2 et même sur la station wagon photo # 4 .
On est en 51 au moment des meurtres .Des pneux hors route déjà à la corde à l'achat ne durent pas des années .
Alors pourquoi les policiers cherchent-ils ces traces de dinosaures ?
Le seul Jeep dont on soit certain sur les lieux des meurtres est celui de Jerry Patterson , le garde-feu ( page 34 de votre livre )et nulle part par la suite on ne retrouve mention des traces qu'il a laissées .Quelle sorte de pneux avait-il ? Il doit bien y avoir des photos en archives montrant cet homme ou son véhicule ?
Me Fortin
Vous n'avez pas encore fait disparaître votre photo # 3 ,
réellement ( pas rapport )
pour la remplacer par la photo couleur de la CJ3B
Merci
J'avais 18 ans quand le procès de Coffin a eu lieu. Des jeeps acquises "des surplus de guerre" sillonnaient ma Gaspésie natale. Au même moment, la station wagon ou si vous voulez, la familiale, faisait son apparition. Les propriétaires bricolaient leurs jeeps pour les adapter à leurs besoins. C'était courant. Je ne crois pas qu'un Gaspésien ou ne Gaspésienne ait pu confondre une familiale avec une jeep "des surplus de guerre".
Dès que je recevrai le jugement que rendra l'honorable juge Martin Hébert, au sujet des notes sujettes au huis clos, je vous en communiquerai le contenu selon qu'il me sera permis de le faire.
Me Fortin,
Moi j'avais cinq ans ,on était en
1950 , je demeurais à Rimouski , pas très loin de la Gaspésie ,
et le père d'un de mes amis avait un Jeep Station wagon , un ancien ambulance militaire acheté
au surplus de guerre à Valcartier .Il s'en servait pour faire la livraison et aller au chalet , à la pêche à la truite . il avait une épicerie , lui-même et tout le monde autour appelait son véhicule ,sa Jeep .
Me Fortin ,
J'ai tout relu , du tout début ,
vos articles au sujets des jeep
prétenduement apercues par différents témoins . La Commission Brossard a clairement étudié tous ces racontards et les a tous rejetés .
Je suis entièrement convaincu tout comme vous qu'il s'agit d'une triste fumisterie ,a hoax.
Vous avez raison. Il faut lire le rapport Brossard dans son entier pour saisir l'ampleur de la fumisterie. J'afficherai cette semaine le cas de la jeep que le docteur et madame Wilson ont vue. Une véritable manipulation... Une affaire bien orchestrée avec la complicité des journaux de Toronto.
Me Fortin ,
Reste maintenant à savoir qui d'autres ont fomenté et exécuté ces meurtres sordides .Coffin a payé de sa vie , ses vols , ses mensonges ,sa loi de l'omerta et son attitude arrogante ,they're not man enough to break me .
Plus de cinquante années ont passées depuis , les chances sont rares qu'on découvre les autres coupables .
Je constate qu'il y a plusieurs visiteurs de mon blogue qui sont des experts en jeeps. J'ai affiché ces photos de jeeps et de deux familiales pour susciter de l'intérêt.
Je vous rappelle que le sergent Doyon n'a pas relevé de traces de jeeps. Il reste à examiner la jeep du docteur et de madame Wilson, la jeep du docteur et de madame Attendu, la jeep des Dumaresq, père et fils, la jeep Arnold, et la jeep du camp MacCallum. Merci de l'intérêt que vous portez à mon blogue.
Clément Fortin
Me Fortin ,
Je viens de lire les deux commentaires sur le dernier blog de ce prophète Stoddard .
Mais d'où sortent ces gens pour tenir des propos si ..... enfantiles . Cà me dépasse qu'en
2008 il reste encore des gens
si naivement mal renseignés et qui s'accrochent aux dires d'un pasteur du style Jim Jones .
Me Fortin ,
Tand qu'il y a des Jeeps ,il y a de l'espoir , doit se dire le dude on the other site , Ha!Ha!
Me Fortin ,
Voici des propos de Stoddard :
You are going to see a document trail from Pennsylvania to Quebec. You will as well see a document trail from the Maritime provinces to Quebec and Pennsylvania. When it is all put together, I am confident that you will have little doubt as to who the killers are.
À quoi se réfère-t-il ?
Ces documents ont-ils été scrutés
lors des Audiences de la Commission Brossard ou s'agit-il encore d'un vilain lapin qu'il sort de son arche d'alliance ?
You are already discrediting the jeep sighting by the doctors named Wilson. How can you do that when their evidence in the name of an affadavit was suppressed? What about the jeep sighting by Fabien Sinnett, why was his suppressed<
Have you or your helper interviewed Mrs Wilson?
Mr Stoddard has.
Have you or your helper interviewed Mr Sinnett?
Mr Stoddard has.
I suspect their evidence was not brought forward because the police and Quebec for some strange reason did not want it so. Maybe it weas because their evidence would have cast doubt on what the crown was pushing forward.
Anonymous
***I shall post this on Mr Stoddards site in a couple of days should you decide not to publish.
Me Fortin ,
That anonymous should already have listen to that music :
When you're hot , your hot ,
when you're not , you're nut
and tell the dude on the other site .
Me Fortin ,
This anonymous will tell Mr Stoddards , ain't you got the shakes ?
To that anonymous and to whoever hides behind that word, I say post your comment on Mr. Stoddard's blog right away.
Clément Fortin
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