11 janvier 2008

HUIS CLOS BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES NATIONALES DU QUÉBEC VA EN APPEL

HUIS CLOS DE LA COMMISSION BROSSARD

Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) en appelle de la décision rendue par la Commission d’accès à l’information

Aujourd’hui, j’espérais recevoir la documentation au sujet de laquelle la Commission d’accès à l’information (CAI) avait accueilli ma demande de révision et avait ordonné à Bibliothèque et Archives nationales du Québec à me communiquer des extraits des débats frappés de huis clos de la Commission royale d’enquête sur l’affaire Coffin (Commission Brossard).

Plutôt, un huissier s’est présenté chez moi pour me signifier un avis d’appel de Bibliothèque et Archives nationales du Québec.

Je rappelle sommairement les faits : le 5 avril 2006, j’ai demandé l’autorisation de consulter quelque 500 pages de transcriptions sténographiques frappées de huis clos. Enfin, le 10 décembre 2007, la Commission d’accès à l’information m’autorisait à consulter ces documents.

Quel est mon but dans cette affaire? Tout ce que je tente de faire, c’est de rendre limpide à tout le monde le procès qui a été fait à Coffin en 1954 et l’enquête royale qui a été faite sur cette affaire en 1964. Je prétends notamment qu’en empêchant un chercheur de consulter ces documents, BAnQ prive le public d’en connaître le contenu et du même souffle entretient des doutes sur cette affaire alors que la Commission Brossard avait pour mandat d’en faire la lumière.

Plusieurs savent que l’affaire Coffin a nui à la réputation et a mis en doute l’intégrité du système judiciaire du Québec. J’essaie de remettre les pendules à l’heure. Et vous pouvez constater que ce n’est pas facile dans ce beau pays…

2 commentaires:

Anonyme a dit...

CHER MR. FORTIN, J,ai lu votre dernier écrit sur l'affaire Coffin et je trouve que vous faites des déclarations sans vraiment savoir de quoi vous parlez.Vous me faites pensé un peu a Bona A rsenault qui a copié les registres des paroisses en Gaspésie et par la suite les a publié mot pour mot,avec les fautes que les pretres du temps pouvait faire.Vous avez écrit ce torchon avec la simple intention de faire croire en la culpabilité de mr coffin et ainsi lavé la mémoire de vos confrére avocat du temps et aussi en tant que EX directeur du barreau du québec il était dans votre intéret de le faire .En terminant cher messieur je vous conseillerais de continué vos etudes en droit avant d ÉCRIRE D AUTRES TORCHONS DU GENRE .......

Anonyme a dit...

Je pense au contraire que monsieur Fortin porte à notre connaissances des faits importants qui nous permettent de se faire une idée sur cette affaire.