MARC DESJARDINS RAPPORTE UN RAGOT DE PAULINE CADIEUX AU SUJET DE CORDÉLIA VIAU
Article
Pauline Cadieux
Tous droits réservés © Éditions Continuité, 1988
Ce ragot salit la réputation d'une personne décédée, qu'on identifie, à tort, comme étant l'assassin d'Isidore Poirier.
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C'est à l'époque où elle travaille au palais de justice de Saint-Jétôme que Pauline Cadieux rencontre des témoins, des jurés, d'anciens fonctionnaires à la cour de justice qui, ayant vécu toute cette histoire, laissent supposer qu'on a châtié de faux coupables. Bien que l'accès aux dossiers soit interdit et les langues peu bavardes, Madame Cadieux, convaincue de l'innocence de Cordelia Viau, s'emploie à tirer l'affaire au clair. Après quinze ans de recherches, elle découvre le nom du vrai coupable, mais elle juge inutile de le lancer sur la place publique.
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