21 février 2009

L'AFFAIRE DES MÉDIAS ET NON L'AFFAIRE COFFIN?







L'honorable Jacques Hébert
Coffin à son camp
C’EST L’AFFAIRE DES MÉDIAS
ET NON L’AFFAIRE COFFIN?

LA LIBERTÉ D’INFORMATION
Je poursuis la reproduction du Chapitre 2 intitulé LA LIBERTÉ D’INFORMATION. Dans ce chapitre, le juge Roger Brossard signale, encore une fois, les erreurs et inexactitudes dans les livres de Jacques Hébert. Il identifie les principaux responsables de l’affaire Coffin. Vous verrez le rôle déplorable que nos médias ont joué dans l’affaire Coffin qui aurait pu tout aussi bien s’appeler l’AFFAIRE DES MÉDIAS.
Voici un rappel des sujets que je publierai au cours des prochaines semaines :
a) UN EXEMPLE D’ABUS (Le juge Brossard explique l’entourloupe que certains journalistes ont tenté de faire pour saboter son enquête.)
b) LE RAPPORT BROSSARD NE PEUT ET NE DOIT PAS CONSTITUER UN JUGEMENT (Le juge Brossard rappelle qu’il avait pour mandat d’étudier les agissements de certains personnages et non de refaire le procès de Coffin.)
c) CONCLUSIONS GÉNÉRALES (Le juge Brossard revoit toute la preuve et explique comment les questions soulevées par LES CRITIQUES ont été résolues)
DANS L’ENTRE-TEMPS, POUR UN POINT DE VUE DIFFÉRENT, JE VOUS SUGGÈRE DE JETER UN ŒIL SUR LE BLOGUE DE MONSIEUR LEW STODDARD :
http://www.stoddardsviews.blogspot.com/ /
RAPPORT DE LA COMMISSION D’ENQUÊTE BROSSARD SUR L’AFFAIRE COFFIN (27 NOVEMBRE 1964) VOL. 3 CHAPITRE 2 (Cinquième partie)
-III-
LA LIBERTÉ D’INFORMATION
Un grand nombre des inexactitudes et des faussetés contenues dans le livre de monsieur Hébert et que nous avons relevées tout au cours de ce rapport furent, indépendamment de leurs causes individuelles, la manifestation chez lui d’un manque d’objectivité et d’une fausse notion de la liberté d’information qu’il semble partager avec un certain nombre de journalistes.
On ne peut être que frappé par la constante suivante : M. Beliveau était un journaliste, M. Hébert l’était, M. MacLean l’était, M. Edwards l’était, M. Feeney l’était; l’étaient aussi d’autres rédacteurs de nouvelles publiées dans les journaux d’Altoona, et dans, entre autres journaux canadiens, le Toronto Daily Star et le Toronto Telegram; ce fut, en partie, auprès de ces journalistes et dans leurs reportages, que M. Hébert prétendit trouver son inspiration pour écrire ses propres livres. Étaient aussi journalistes ceux qui ont jugé opportun de reproduire à titre de nouvelles de larges extraits du livre de M. Hébert; prétendaient l’être aussi les réalisateurs de « journaux parlés » qu’auraient été les enquêtes à la télévision; l’était aussi, « à la pige », Jean Luc Lacroix dont l’ombre s’est dessinée à quelques reprises au cours de notre enquête, derrière M. Hébert et M. Doyon.
Notre enquête aura démontré le tort immense et difficilement réparable que peuvent causer les abus commis dans l’exercice de la liberté d’information. De plus en plus, sous notre régime de liberté quasi absolue de parole, de presse et d’information, trop de gens s’arrogent des connaissances, une compétence, une capacité de jugement, une importance intellectuelle et sociale qu’en fait ils ne possèdent pas et se font, dans le domaine de l’interprétation et de l’application des lois, à la fois accusateurs et juges de leur prochain, se substituant ainsi, d’une part, à ceux dont c’est la fonction sociale de surveiller l’application des lois et d’autre part, aux juges dont c’est la responsabilité de les interpréter et de les faire respecter. Trop rares sont ceux qui, par une critique objective, constructive, savante et juste, peuvent prétendre aider et éclairer ceux qui tiennent de l’État et du peuple la lourde charge de l’administration de la justice.
Les abus dans l’exercice de la liberté d’information qu’a révélés la présente enquête devraient servir de mise en garde et d’appel à la prudence à ceux qui, faute des connaissances voulues ou de la réflexion nécessaire, sont susceptibles de devenir les victimes ou les dupes du mensonge conscient ou inconscient, malicieux ou imprudent.
Si jamais, en ce pays, les libertés individuelles devaient être étouffées par une dictature de droite ou de gaude, ce sera dû en grande partie, aux abus que commet une infime, mais trop agissante minorité de journalistes ne possédant pas suffisamment le sens de l’objectivité, de la responsabilité et de la vérité ou incapables de prévoir les conséquences de leurs erreurs ou peu intéressés à les prévoir.
Le droit d’informer n’est pas celui de déformer, ou de fausser les faits ou d’inventer des faits que l’on sait ne s’être pas produits ou que l’on n’a aucune raison valable de croire et de dire qu’ils se sont produits, en affirmant qu’ils sont vrais. La liberté d’opinion n’est pas celle d’exprimer des opinions basées sur tels faits.
Il ne faut certes jamais choisir la paix aux dépens de la vérité, mais il ne faut pas non plus assurer la paix ou la détruire par le mensonge.
Les abus dans l’exercice de la liberté entraînent parfois la suppression de la liberté elle-même.
La puissance de la presse est devenue telle que certains journalistes, faisant partie du petit nombre de ceux qui ne comprennent pas leurs devoirs et leurs responsabilités envers la société, sont portés à se croire au-dessus des lois et à se constituer en une espèce de mafia intellectuelle. Nos lois sont actuellement presque impuissantes à prévenir, ou à guérir, en temps utile, les torts irréparables qui peuvent être causés aux individus, à un groupe d’individus ou à un peuple tout entier par les abus que commettent ces quelques rares journalistes, en exploitant tantôt l’ignorance, tantôt les passions, tantôt la morbidité d’un trop grand nombre de lecteurs.
La grande pitié des abus qui se commettent ainsi au nom de la liberté de presse et d’information, c’est qu’ils sont attribuables :
1) À l’absence de contrôle par les journalistes honnêtes, consciencieux, qualifiés et responsables sur les médiocres, les incompétents, les frustrés et les irresponsables qui forment la minorité de leur profession.
2) À l’abdication d’un trop grand nombre de gouvernants devant la crainte intéressée qu’ils ont des journaux et journalistes en général et du petit nombre des journalistes destructeurs en particulier.
3) À l’apathie du peuple lecteur devant les excès et les abus que d’aucuns commettent au nom de la liberté de presse et d’information.
La liberté de presse et d’information n’a son origine, comme toutes libertés, que dans le droit premier de l’homme, celui de vivre : elle n’est pas plus essentielle à l’homme que la liberté du travail; l’exercice de la liberté de chacun est limité par le droit des autres à l’exercice de leur propre liberté. C’est la raison pour laquelle l’exercice de toutes les libertés doit être réglementé afin que la liberté de chacun puisse s’exercer dans un juste équilibre avec celui par les autres de leur propre liberté. C’est pour que soit assuré et maintenu cet équilibre nécessaire à l’ordre public que la majeure partie des activités humaines est réglementée, et qu’est réglementée la liberté du travail elle-même; ne peut remplir les fonctions augustes de la prêtrise qui veut; ne peut exercer le droit, la médecine, le génie civil, l’art dentaire qui veut; ne peut être technicien qui veut; ne peut exercer le métier de menuisier, d’électricien, de plombier, de peintre, de mécanicien qui veut; toutes ces professions sont assujetties à des conditions d’admission et de pratique dont le but fondamental est de protéger le public contre les abus que pourraient commettre certains de ceux qui les exercent; les conditions d’exercice du commerce et de l’industrie sont elles-mêmes régies, pour les mêmes fins, par des règles sévères; le droit d’enseigner, dans toutes les sphères des connaissances humaines et à tous les paliers de l’enseignement, est lui aussi réglementé quant au droit de l’exercice et quant à l’enseignement lui-même afin que ceux qui reçoivent cet enseignement puissent, dans l’intérêt public, recevoir un enseignement vrai; parmi les activités humaines, la fonction si importante et si périlleuse de renseigner le public sur les événements de la vie quotidienne, dans tous les domaines et dans toutes les sphères, est à peu près la seule, sinon la seule, qui s’ouvre sans condition, aussi bien à ceux qui sont capables et dignes de l’exercer qu’à ceux qui ne le sont pas; dans la mesure où l’exploitation d’une entreprise d’information peut être envisagée sous l’angle commercial exclusivement, ce commerce est, de tous les commerces, celui qui est le moins réglementé ou qui est réglementé de la façon la plus inefficace; c’est en définitive le peuple qui est appelé à souffrir des abus que ce manque de réglementation tant de la profession que du commerce facilite et occasionne; les dispositions du Code criminel sur le libelle diffamatoire sont inefficaces; en particulier, l’article 259 du Code rend presque illusoire le recours d’un individu lésé dans son honneur et sa réputation; d'ailleurs, l’application spasmodique et rare de la loi entraîne simplement une punition, mais ne constitue pas un remède; notre loi provinciale de la Presse protège surtout les journaux et les journalistes irresponsables, elle ne protège ni les victimes de ces derniers, ni les journalistes responsables.
Un moyen sinon d’empêcher totalement du moins de diminuer les abus serait peut-être de grouper obligatoirement ceux qui veulent faire métier d’informer le public en un organisme professionnel chargé de la protection non seulement des intérêts de la profession, mais aussi de ceux du public, comme le sont les médecins, les avocats, les notaires, les ingénieurs et comme le son, sur des bases différentes, mais pour les mêmes fins, la majorité des hommes de métier.
Au début de ce rapport, j’ai exprimé le regret que j’éprouvais d’être obligé de prononcer des paroles dures envers certaines catégories de journalistes, à cause de l’objectivité dont on fait preuve presque tous les journalistes qui furent accrédités par leurs journaux auprès de cette Commission et qui en ont suivi la plupart des séances; si je fais ces remarques désagréables à ce moment de mon rapport c’est que je suis profondément convaincu, par suite des faits qui ont été révélés au cours de cette enquête et à raison d’événements plus récents, de la nécessité pour nos gouvernants, quels qu’ils soient, d’avoir le courage de repenser les lois relatives aux libertés, à la presse et à l’information afin que soient évités les mouvements subversifs nés d’un mécontentement artificiel créé par des nouvelles mensongères, malicieuses ou dangereusement tendancieuses.
L’organisation des journalistes et de tous ceux qui sont appelés à informer le public par la plume ou par la parole, sur tous les plans et dans tous les domaines, quant aux événements qui se produisent, pourrait être un remède, mais pas le seul, contre les abus que j’ai soulignés. Le Code pénal n’est pas dirigé contre ceux qui respectent la loi, mais contre ceux qui la violent; les règlements d’éthique professionnelle ne s’adressent pas à ceux qui, dans l’exercice de leur profession, agissent dans l’intérêt public; le groupement des journalistes et autres informateurs du public en un corps professionnel organisé, dirigé et surveillé par les membres de la profession eux-mêmes ne serait pas une entrave à l’exercice de la liberté de presse et d’information, mais il pourrait développer chez tous les journalistes, dans un climat de solidarité professionnelle, le sens des responsabilités envers le public.
Le livre de M. Hébert m’aura au moins permis de me pencher, pour quelques instants trop courts, sur l’un des problèmes les plus graves qui menacent actuellement les pays démocratiques, celui des abus de la liberté de presse et d’information qui se commettent de plus en plus nombreux et qui peuvent, un jour, mettre en danger l’ordre public.(À SUIVRE)
RÉAGISSEZ À CETTE PUBLICATION.

27 commentaires:

Anonyme a dit...

Me Fortin,
Je suis surpris d'apprendre après toutes ces années que c'était l'affaire des médias. Est-ce que cela pourrait se reproduire de nos jours?
Pierre Bousquet

Clément Fortin a dit...

Monsieur Bousquet,
Le journalisme a beaucoup changé depuis le temps de Coffin et de la Commission Brossard. Jacques Hébert s'est tout simplement déclaré journaliste. À l'époque, il n'y avait pas de formation en journalisme d'offerte à ceux et celles qui désiraient exercer cette profession. Vous me demandez si une telle supercherie pourrait se reproduire de nos jours. Rappelez-vous comment certains journaux américains ont gobé les histoires du gouvernment Bush au sujet des armes de destruction massive. Je crois que cela peut se reproduire et c'est pour cette raison que nous devons tous être vigilants.

Anonyme a dit...

Me Fortin
Toute cette Commission Brossard n'a été qu'un cover-up magistral de la Justice au Québec des années 50 .
Grand merci aux médias qui ont dénoncé naguère et maintenant les filouteries des grands de ce monde , de la supposée élite ; ceux de la Justice , des Affaires ,de la Religion , de la Finance ,de nos propres grands élus Protecteurs
du Patrimoine provincial .
Les médias les dénoncent ,
KEEP THEM HONNEST !!! CNN
ENQUÊTE ET J.E. !!!! RADIO-CANADA
Pour ne nommer qu'eux .

Clément Fortin a dit...

Anonyme,
Sur quoi vous basez-vous pour faire cette affirmation? Il serait intéressant de connaître vos motifs. Vous pourriez dès lors m'éclairer et me permettre d'approfondir cette question.

Anonyme a dit...

Me Fortin
Vous défendez tel Don Quichote un canard boiteux qui ne s'est même pas gêné pour vous désavouer de venir à son aide devant l'opprobe
de l'opinion publique récemment réveillée par les dénonciations de M.Stoddard .
Il est fini le temps des cathédrales et des grandes réflections moralisatrices de l'an 64 .
L'innocence du bon peuple s'est évanouie avec les débuts de la révolution tranquille et la remise en question de la gouvernance des élites .
Ses pires doûtes du temps sont devenus la réalité des scandales
chaque jour mis en évidence dans les médias .
Et ce n'est que le début .

Anonyme a dit...

Le dernier message (qui fait allusion à un Don Quichotte d'un seul t) est tellement mal écrit qu'on ne sait pas où son auteur veut en venir. C'est plein de gens comme ça, qui pensent avoir des idées mais qui n'en ont pas.
Quant au type qui dénonce la Commissision Brossard et qui vante JE, on dirait qu'il a pris de la dope.
Carl Ménard

Anonyme a dit...

Le danger, aujourd'hui, ne vient pas des journalistes (sauf peut-être de certains chroniqueurs d'humeur)mais des bloggers. Des Lew Stoddard, il y en a à la tonne.

Anonyme a dit...

Le danger vient toujours des journalistes quoiqu'en pense de dernier anonyme.
Leur influence est grande vu le tirage des journaux.
Les blogues font maintenant parti des médias. Le blogue de Stoddard, par exemple, est devenu une chapelle, une secte. Il veut transmettre la bonne nouvelle même si elle se base sur rien.
Paul Lamontagne, Québec

Anonyme a dit...

Quelqu'un a des nouvelles de Mr. Stoddard?
J'ai l'impression que le chat qui dort prépare un retour en force.

Anonyme a dit...

Me Fortin

Votre brillante carrière s'est terminée en queue de Poisson à ce qu'on peut lire en tête de votre blog .
Est-ce pour cette raison que vous vous êtes tourné vers le journalisme d'enquête qui n'a d'audace que de recopier les inepties d'une Commission digne de l'Inquisition et du procès des Templiers .

Anonyme a dit...

Qui est ce brave anonyme pour vous dire des bêtise Me Fortin? C'est évident que cet anonyme n'a pas encore compris. Malgré cette impolitesse, continuez votre travail. Il y a des gens honnêtes qui suivent votre blogue.
Pierre Sénécal, Québec

Anonyme a dit...

Me Fortin:
Cet anonyme qui vous insulte est peut-être un Hébert. De plus, son style me porte à croire qu'il s'agit du crackpot qui, plus haut, parle de filouterie et de Religion, Finances, etc.
Bravo pour votre courage, Me Fortin.
Marc Poirier

Anonyme a dit...

Lire et relire les notes du procès de Coffin et de la Commission Brossard ne fait rien avancer. Les injustices commises sont, bien sûr, demeurées précieusement cachées dans les deux cas.
Il est évident qu'il faut se donner la peine de sortir du procès et de la Commission pour constater les injustices qui ont été faites à l'époque dans cette affaire. Mais pour cela, il faut vouloir les connaître!...
Les journalistes sont des éléments précieux dans ce genre d'affaire. Ils dénoncent, ils informent le "petit peuple".
Une Gaspésienne qui sait de quoi elle parle

Clément Fortin a dit...

À une Gaspésienne anonyme,
Il faut au moins lire une fois les documents du procès devant le jury et les documents de la Commission Brossard. Il y plus de 20 000 pages. La Commission Brossard a entendu 214 témoins. Par le moyen d’avis dans les journaux, on pressait tous ceux et toutes celles qui avaient quelque chose à dire de se présenter devant la Commission. La justice n’est qu’humaine. Elle est mieux rendue quand les citoyens et les citoyennes accomplissent leurs devoirs. Vous parlez de « constater les injustices qui ont été faites à l’époque dans cette affaire ». Vous devriez nous les exposer ces injustices pour que nous puissions les examiner. Il y a plus de 50 ans qu’on colporte des ragots. Qu’on insinue toutes sortes de choses. Au moins, ayez le courage d’étaler vos ragots sur la place publique. On pourra les juger à leur mérite. Enfin, sortez du placard et identifiez-vous.

Anonyme a dit...

M. Fortin,

J'ai lu les 20,000 pages de la Commission Brossard il y a environ 30 ans. J'avais les "briques" en ma possession. Ceux et celles qui avaient, à l'époque, quelque chose à dire se taisaient pour ne pas avoir à subir la vengeance du gouvernement. Admettez qu'à l'époque il fallait suivre le courant du gouvernement en place... si non, gare à vous!
Ce que vous qualifiez de "ragots", un site internet que vous connaissez très bien vous les expose. Libre à vous de choisir d'en ignorer le contenu ou, beaucoup mieux, d'en faire la recherche, de les examiner... Vous êtes le bienvenu en Gaspésie.
Concernant mon identité, je ne manque aucunement de courage. Il vous suffit de me démontrer un minimum d'ouverture et je suis à votre entière disposition. En fait, je suis tout simplement à la disposition de la justice.
La Gaspésienne

Anonyme a dit...

L'arrivée de la Gaspésienne est une excellente chose. Elle est très drôle. J'espère qu'on va la lire souvent. Elle prend le relais de Lew Stoddard.
Manon Lafontaine, Mtl

Clément Fortin a dit...

La Gaspésienne,
Vous pouvez m'écrire aux soins de mon éditeur Wilson & Lafleur. Vous trouverez l'adresse sur Internet.

Anonyme a dit...

DEMANDE SPÉCIALE :
Nous voulons la Gaspésienne !
Comme un autre visiteur l'a dit, elle nous aide à faire notre deuil du hilarant Lew Stoddard.

Anonyme a dit...

Me Fortin,
Merci pour votre ouverture, je vous écrirai sous peu.
Cette affaire est sérieuse et j'ai choisi de demeurer anonyme sur votre site afin d'éviter les commentaires disgracieux et inutiles comme celui de Manon Lafontaine.

Anonyme a dit...

Me Fortin,
Je ne veux pas vous donner de conseils mais de grâce ne perdez pas votre temps avec la gaspésienne. Je la soupçonne d'être coachée pat Stoddard. C'est peut-être même son assistante.

Anonyme a dit...

Oui, c'est bien possible que la Gaspésienne soit Lani, la "détective" qui enquêtait avec Lew.
Manon Lafontaine

Anonyme a dit...

Mr. Fortin,

I am surprised that you have not mentioned the passing of Mr. Stoddard. Even though it was quite clear that you did not like his site, it was a site that was prepared in an interesting and informative way. His knowledge of this case was thorough and he did many thousands of hours or work on it.

My thoughts go out to his family.

H. Sabine
Rimouski

Clément Fortin a dit...

H. Sabine de Rimouski,
Vous me communiquez un fait que j'ignorais. Vous me prêtez aussi des intentions que je n'ai pas. Je ne m'en prends jamais aux gens eux-mêmes, mais à leurs opinions.
Vraiment, je suis désolé.

Anonyme a dit...

Me Fortin

Qu'est ce que cet histoire de H. Sabine M.Stoddard serait mort ?

Anonyme a dit...

Me Fortin and H.Sabine from Riki,

Mr Stoddard passed out or what ?
I checked on Gogaspe and there's nothing about that . So what's the news , passed out or what ???
Real sorry if it is .
Please come with details H.Sabine .

Anonyme a dit...

Me Fortin

Si Lew Stoddard n'est plus , qui poursuivra son blog , sa partner ,
Lany Mitchell ?

Anonyme a dit...

Me Fortin,
J'ai lu les différentes interventions sur "L'affaire des médias et non l'affaire Coffin".
À mon humble avis, je crois que depuis la disparition subite du blogue de monsieur Stoddard plusieurs orphelins adolescents se cherchent une nouvelle mère sur qui passer leur immaturité. Je vous trouve bien patient de répondre respectueusement à certains détracteurs des faits exposés devant les autorités compétentes. Je crois détecter, chez vous, une certaine lassitude à répondre à certaines inepties.
Par contre vous avez des lecteurs fidèles et intéressés par ce sujet qui suivent avec grand intérêt, l'évolution de ce dossier tel que présenté dans votre docu-roman.
Jean Ferland