Whorrell W. Annett poursuit Coffin pour recouvrer $1,188.00 et les frais, le 29 novembre 1951.
4 mai 2008
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Clément Fortin est avocat à la retraite. Il a exercé en cabinet privé, a été professeur à l'Université de Sherbrooke et a dirigé l'École du barreau et la Formation permanente des avocats. Auteur de plusieurs articles et ouvrages sur le droit civil, commercial et fiscal, il a aussi publié en 1997 un premier roman historique Les amours du Pied-de-la-Côte qu'il a réédité en 2001. En 2005, il a publié un docu-roman sur l'affaire Poisson intitulé On s'amuse à mort, aux Éditions du Septentrion.
5 commentaires:
Very interesting...
Le monsieur Stoddard de l'autre site sur Coffin écrit que Coffin avait de l'argent et qu'à l'automne '48 il pu même donner un cash de $1 000. pour l'achat d'un camion.
La réalité est toute autre et la dette que vous parlez renvoie surement à l'emprunt qu'il contracta alors pour payer ce camion.
Merci de remettre les pendules à l'heure Me Fortin.
En passant, où trouvez-vous tous ces documents? Le public peut-il les consulter?
Gaston Lavoie
Je trouve ces documents dans les dossiers de police. Vous pouvez en faire la demande. Étant donné la grande quantité de documents que ces dossiers contiennent, il s'agit véritablement d'un travail de moine. J'essaie de porter à votre connaissance les plus pertinents.
Maître Fortin,
Félicitations pour votre site. Je le visite régulièrement. Je visite également celui du détective Lew Stoddard.
Votre document sur les dettes de Coffin à la fin des années 40 est une réponse du tac au tac aux arguments dudit détective, qui prétend que Coffin était un type en moyens.
Bonne continuation. D. M.
Coffin n'avait pas un maudit sous. La banque courait après lui. Il empruntait à tout le monde. Il est tellement cassé qu'il vole du sirop d'érable, des oeufs et des pantalons usagés!
Il part pour Montreal le lendemain du triple meurtre et dépense comme un bon avec en plus de l'argent américain. Un chausson avec ça?
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