CANADA
PROVINCE DE QUÉBEC
PROVINCE DE QUÉBEC
DISTRICT OF QUÉBEC
COMMISSION D’ENQUÊTE DANS L’AFFAIRE COFFIN
PRÉSENT : L’HONORABLE ROGER BROSSARD, J.C.S.
Le vingt-quatrième jour de février, l’an mil neuf cent soixante-quatre, a comparu comme témoin :
Monsieur JACQUES HÉBERT, éditeur, domicilié à 220, rue Mont Prévert, Beloeil, P.-Q., âgé de 40 ans, lequel étant dûment assermenté sur les Saints-Évangiles, dépose et dit ce qui suit :
INTERROGÉ par Me JULES DESCHÊNES, C.R.,
Conseiller juridique de la Commission :
Q Monsieur Hébert, j’ai produit, plus tôt ce matin, un volume comme pièce numéro 13, qui est intitulé « J’accuse les assassins de Coffin. » Pourriez-vous dire à la Commission si c’est bien vous qui en êtes l’auteur ?
R Oui, j’en suis l’auteur.
Q Maintenant, je constate également que ce volume a été publié par les soins de Les Éditions du Jour, Montréal. Pourriez-vous dire à la Commission si vous êtes l’un des intéressés dans cette entreprise des Éditions du Jour ?
R Oui, je suis le président et le directeur général de cette compagnie.
Q Est-ce que vous avez assisté au procès de Coffin, en mil neuf cent cinquante-quatre (1954), à Percé ?
R Non.
Q Est-ce que j’ai raison de présumer que dans les circonstances, vous n’aviez probablement pas assisté non plus soit à l’enquête du Coroner, soit à l’enquête préliminaire, l’année précédente ?
R Non plus.
Q Est-ce que vous pourriez nous dire à peu près vers quelle période de temps vous avez commencé à vous intéresser à l’affaire de Coffin ?
R C’était peu de temps avant la pendaison.
Q Ah bon !
R Au moment où à peu près tous les sursis semblaient terminés ; je crois que c’est quelques semaines avant.
Q Maintenant, vous connaissez également, je comprends, un journaliste de Toronto du nom de John Edward Belliveau ?
R Oui
Q Vous êtes au courant, sans doute, que monsieur Belliveau avait également publié un volume, en mil neuf cent cinquante-six)1956), au mois de juillet mil neuf cent cinquante-six (1956) ?
R Oui.
Q Également sur l’affaire Coffin, intitulé « The Coffin Murder Case » ?
R Oui, en effet.
Q Je suppose que vous avez dû le lire, à un moment donné, le volume de monsieur Belliveau ?
R Oui, sûrement, j’en ai pris connaissance au moment où mon premier volume était déjà écrit, mais il m’a été utile pour compléter des renseignements dans mon premier volume, mais il n’a pas été à la base ou l’origine de mes renseignements.
Q Monsieur Belliveau sera entendu, évidemment, à son tour, et il verra à produire une copie de son volume. Est-ce que je peux vous demander, pour les fins de votre second volume, celui qui a été produit ce matin, si vous avez eu l’occasion de vous inspirer du volume de monsieur Belliveau ?
R Non, dans le second volume, j’ai rencontré monsieur Belliveau, j’ai eu des conversations très longues avec lui, mais je n’ai même pas ouvert son volume en préparant mon deuxième volume.
Q Maintenant, est-ce que vous avez eu l’occasion de lire les dépositions du procès Coffin, les dépositions qui ont été produites, ou dont les transcriptions ont été produites ce matin ?
R Des extraits seulement.
Q Est-ce que vous pourriez, de mémoire, si vous le savez, nous dire quels sont les témoignages que vous avez eu l’occasion de parcourir ?
R Des extraits des plaidoiries, en particulier, principalement les extraits qui ont servi à la Cour Suprême, dans les mémoires qui ont servi à la Cour Suprême.
Q Là, vous référez aux argumentations ou les plaidoiries des différents avocats, soit pour la Couronne soit pour la défense ?
R Oui.
Q Est-ce que vous avez, en dehors de ça, eu l’occasion de lire les témoignages des témoins même entendus au procès ?
R Oui, mais pas nécessairement dans le document que vous avez là. – des extraits qui m’ont été fournis par certains témoins.
Q Est-ce que vous pourriez nous dire quels sont les témoignages que vous avez eu l’occasion de parcourir en partie ?
R De mémoire, je pourrais citer celui de l’expert médico-légal, monsieur Bernard Péclet.
Q Excusez-moi – est-ce que monsieur Péclet n’était pas un expert en balistique?
R Un expert en balistique, mais je pense qu’il fait partie du bureau médico-légal.
Q Vous dites que vous avez lu des extraits du témoignage de monsieur Bernard Péclet ?
R Oui, qu’il m’a fourni lui-même.
Q Est-ce que vous avez eu l’occasion de parcourir d’autres témoignages ?
R Certainement. Je ne pourrais pas vous les citer là, mais en d’autres occasions, je pourrai le faire.
Q Est-ce qu’il vous serait possible de vérifier quels sont les témoignages que vous avez parcourus et nous en fournir les noms ?
R Oui, c’est possible.
Q La semaine prochaine ?
R D’accord.
Q Cependant, sans vous en tenir à un chiffre précis, je ne voudrais pas vous en tenir à deux, trois ou quatre témoignages, mais pourriez-vous nous dire, au meilleur de votre mémoire, combien de témoignages vous croyez avoir eu l’occasion de parcourir, en tout, ou tout simplement en partie ?
R Vous parlez des témoignages qui ont été …
Q Donnés au procès Coffin ?
R .. donnés au procès Coffin même ?
Q. Oui.
R. Combien de témoignages ai-je parcourus?
R … de mémoire, non, je ne risquerais pas un chiffre.
Q Est-ce que vous vous souviendriez des noms des témoins dont vous avez pris connaissance des dépositions ?
R Je me souviens, par exemple, du nom de Lewis Sinnett.
Q Oui.
R. Henri Doyon.
Q Oui.
R. Là, pour dire, c’est les deux seuls dont je puis me souvenir.
Q De toute façon, vous ferez la vérification que nous vous demandons, s’il vous plaît, n’est-ce pas ?
R Bien sûr.
Extrait des pages 158 et suivantes :
Q Est-ce que vous avez une idée, que vous n’aviez sans doute pas avant de lire cette partie du dossier conjoint cette semaine, avez-vous une idée maintenant combien de témoins, particulièrement, auraient été entendus au procès Coffin ?
R Une vague idée ; pas précise, mais à peu près précise.
Q Vous vous êtes rendu compte maintenant qu’il y en a eu exactement 80 qui ont témoigné au procès de Coffin ?
R Je ne les ai pas comptés.
Q Êtes-vous prêt à prendre ma parole qu’il y en a eu 80 ?
R Oui, je la prends.
Q. Sur les 80 témoins, il y en a un : Péclet dont vous avez lu tout le témoignage ; deux, Doyon et Sinnett, dont vous avez lu des extraits, et 77 dont vous n’aviez jamais lu le témoignage, au moment de la publication de votre volume.
R Oui, parce que je n’en sentais pas le besoin ; ils ne m’intéressaient pas particulièrement.
Q Alors, nous venons, si vous voulez bien, monsieur Hébert, à un passage de votre témoignage dont il avait été question la semaine dernière, mais c’est peut-être un peu prématuré de ma part, pour continuer dans l’ordre de pensée que j’avais tout à l’heure, on parlait des témoignages que vous aviez lus, ceux que vous n’aviez pas lus, le lendemain de la parution de votre volume, au mois de décembre dernier, vous souvenez-vous d’avoir participé à une émission de télévision au programme Télé-Métro, Canal 10, cinq (5) décembre mil neuf cent soixante-trois (1963) ?
R Oui, je m’en souviens.
Q Vous aviez été interviewé, à ce moment-là par Pierre Nadeau ?
R Oui, je m’en souviens.
Q J’ai devant moi, ici, une transcription de l’émission, et je lis ceci, à la page 2…
Me RAYMOND DAOUST, c.r.,
Procureur de Jacques Hébert:
Si votre seigneurie me permet: Est-ce qu’il n’y a pas erreur? Télé-Métro est sur le canal 10, et Pierre Nadeau est à Radio-Canada.
Me JULES DESCHÊNES, c.r.
Conseiller juridique de la Commission :
Je sais que monsieur Nadeau travaille pour Radio-Canada, mais j’ai ici une transcription d’une émission de Télé-Métro, cinq (5) décembre mil neuf cent soixante-trois (1963), où monsieur Jacques Hébert est interrogé par monsieur Pierre Nadeau.
R Je m’excuse, je n’ai jamais été interrogé par Pierre Nadeau sur le canal 10, jamais.
Q Vous souvenez-vous d’avoir été interrogé par monsieur Pierre Nadeau, à un moment donné, au sujet de la parution de votre volume ?
R Oui, c’était au canal 2.
Q Alors, on vérifiera. J’ai ici le texte de cette entrevue, monsieur Hébert, et à la page 2, je lis la réponse suivante que vous avez donnée, à un moment donné, à monsieur Nadeau, et je cite :
« Je pense que jamais dans l’histoire de la justice au Canada un procès n’aurait jamais été aussi mal mené où la justice aurait été aussi bafouée à mon sens » Fin de la citation.
Est-ce que là, c’est le procès dont vous parlez, dont vous n’aviez pas lu 77 des 80 témoins ?
R C’est exactement ce procès là.
(À SUIVRE)
PRÉSENT : L’HONORABLE ROGER BROSSARD, J.C.S.
Le vingt-quatrième jour de février, l’an mil neuf cent soixante-quatre, a comparu comme témoin :
Monsieur JACQUES HÉBERT, éditeur, domicilié à 220, rue Mont Prévert, Beloeil, P.-Q., âgé de 40 ans, lequel étant dûment assermenté sur les Saints-Évangiles, dépose et dit ce qui suit :
INTERROGÉ par Me JULES DESCHÊNES, C.R.,
Conseiller juridique de la Commission :
Q Monsieur Hébert, j’ai produit, plus tôt ce matin, un volume comme pièce numéro 13, qui est intitulé « J’accuse les assassins de Coffin. » Pourriez-vous dire à la Commission si c’est bien vous qui en êtes l’auteur ?
R Oui, j’en suis l’auteur.
Q Maintenant, je constate également que ce volume a été publié par les soins de Les Éditions du Jour, Montréal. Pourriez-vous dire à la Commission si vous êtes l’un des intéressés dans cette entreprise des Éditions du Jour ?
R Oui, je suis le président et le directeur général de cette compagnie.
Q Est-ce que vous avez assisté au procès de Coffin, en mil neuf cent cinquante-quatre (1954), à Percé ?
R Non.
Q Est-ce que j’ai raison de présumer que dans les circonstances, vous n’aviez probablement pas assisté non plus soit à l’enquête du Coroner, soit à l’enquête préliminaire, l’année précédente ?
R Non plus.
Q Est-ce que vous pourriez nous dire à peu près vers quelle période de temps vous avez commencé à vous intéresser à l’affaire de Coffin ?
R C’était peu de temps avant la pendaison.
Q Ah bon !
R Au moment où à peu près tous les sursis semblaient terminés ; je crois que c’est quelques semaines avant.
Q Maintenant, vous connaissez également, je comprends, un journaliste de Toronto du nom de John Edward Belliveau ?
R Oui
Q Vous êtes au courant, sans doute, que monsieur Belliveau avait également publié un volume, en mil neuf cent cinquante-six)1956), au mois de juillet mil neuf cent cinquante-six (1956) ?
R Oui.
Q Également sur l’affaire Coffin, intitulé « The Coffin Murder Case » ?
R Oui, en effet.
Q Je suppose que vous avez dû le lire, à un moment donné, le volume de monsieur Belliveau ?
R Oui, sûrement, j’en ai pris connaissance au moment où mon premier volume était déjà écrit, mais il m’a été utile pour compléter des renseignements dans mon premier volume, mais il n’a pas été à la base ou l’origine de mes renseignements.
Q Monsieur Belliveau sera entendu, évidemment, à son tour, et il verra à produire une copie de son volume. Est-ce que je peux vous demander, pour les fins de votre second volume, celui qui a été produit ce matin, si vous avez eu l’occasion de vous inspirer du volume de monsieur Belliveau ?
R Non, dans le second volume, j’ai rencontré monsieur Belliveau, j’ai eu des conversations très longues avec lui, mais je n’ai même pas ouvert son volume en préparant mon deuxième volume.
Q Maintenant, est-ce que vous avez eu l’occasion de lire les dépositions du procès Coffin, les dépositions qui ont été produites, ou dont les transcriptions ont été produites ce matin ?
R Des extraits seulement.
Q Est-ce que vous pourriez, de mémoire, si vous le savez, nous dire quels sont les témoignages que vous avez eu l’occasion de parcourir ?
R Des extraits des plaidoiries, en particulier, principalement les extraits qui ont servi à la Cour Suprême, dans les mémoires qui ont servi à la Cour Suprême.
Q Là, vous référez aux argumentations ou les plaidoiries des différents avocats, soit pour la Couronne soit pour la défense ?
R Oui.
Q Est-ce que vous avez, en dehors de ça, eu l’occasion de lire les témoignages des témoins même entendus au procès ?
R Oui, mais pas nécessairement dans le document que vous avez là. – des extraits qui m’ont été fournis par certains témoins.
Q Est-ce que vous pourriez nous dire quels sont les témoignages que vous avez eu l’occasion de parcourir en partie ?
R De mémoire, je pourrais citer celui de l’expert médico-légal, monsieur Bernard Péclet.
Q Excusez-moi – est-ce que monsieur Péclet n’était pas un expert en balistique?
R Un expert en balistique, mais je pense qu’il fait partie du bureau médico-légal.
Q Vous dites que vous avez lu des extraits du témoignage de monsieur Bernard Péclet ?
R Oui, qu’il m’a fourni lui-même.
Q Est-ce que vous avez eu l’occasion de parcourir d’autres témoignages ?
R Certainement. Je ne pourrais pas vous les citer là, mais en d’autres occasions, je pourrai le faire.
Q Est-ce qu’il vous serait possible de vérifier quels sont les témoignages que vous avez parcourus et nous en fournir les noms ?
R Oui, c’est possible.
Q La semaine prochaine ?
R D’accord.
Q Cependant, sans vous en tenir à un chiffre précis, je ne voudrais pas vous en tenir à deux, trois ou quatre témoignages, mais pourriez-vous nous dire, au meilleur de votre mémoire, combien de témoignages vous croyez avoir eu l’occasion de parcourir, en tout, ou tout simplement en partie ?
R Vous parlez des témoignages qui ont été …
Q Donnés au procès Coffin ?
R .. donnés au procès Coffin même ?
Q. Oui.
R. Combien de témoignages ai-je parcourus?
R … de mémoire, non, je ne risquerais pas un chiffre.
Q Est-ce que vous vous souviendriez des noms des témoins dont vous avez pris connaissance des dépositions ?
R Je me souviens, par exemple, du nom de Lewis Sinnett.
Q Oui.
R. Henri Doyon.
Q Oui.
R. Là, pour dire, c’est les deux seuls dont je puis me souvenir.
Q De toute façon, vous ferez la vérification que nous vous demandons, s’il vous plaît, n’est-ce pas ?
R Bien sûr.
Extrait des pages 158 et suivantes :
Q Est-ce que vous avez une idée, que vous n’aviez sans doute pas avant de lire cette partie du dossier conjoint cette semaine, avez-vous une idée maintenant combien de témoins, particulièrement, auraient été entendus au procès Coffin ?
R Une vague idée ; pas précise, mais à peu près précise.
Q Vous vous êtes rendu compte maintenant qu’il y en a eu exactement 80 qui ont témoigné au procès de Coffin ?
R Je ne les ai pas comptés.
Q Êtes-vous prêt à prendre ma parole qu’il y en a eu 80 ?
R Oui, je la prends.
Q. Sur les 80 témoins, il y en a un : Péclet dont vous avez lu tout le témoignage ; deux, Doyon et Sinnett, dont vous avez lu des extraits, et 77 dont vous n’aviez jamais lu le témoignage, au moment de la publication de votre volume.
R Oui, parce que je n’en sentais pas le besoin ; ils ne m’intéressaient pas particulièrement.
Q Alors, nous venons, si vous voulez bien, monsieur Hébert, à un passage de votre témoignage dont il avait été question la semaine dernière, mais c’est peut-être un peu prématuré de ma part, pour continuer dans l’ordre de pensée que j’avais tout à l’heure, on parlait des témoignages que vous aviez lus, ceux que vous n’aviez pas lus, le lendemain de la parution de votre volume, au mois de décembre dernier, vous souvenez-vous d’avoir participé à une émission de télévision au programme Télé-Métro, Canal 10, cinq (5) décembre mil neuf cent soixante-trois (1963) ?
R Oui, je m’en souviens.
Q Vous aviez été interviewé, à ce moment-là par Pierre Nadeau ?
R Oui, je m’en souviens.
Q J’ai devant moi, ici, une transcription de l’émission, et je lis ceci, à la page 2…
Me RAYMOND DAOUST, c.r.,
Procureur de Jacques Hébert:
Si votre seigneurie me permet: Est-ce qu’il n’y a pas erreur? Télé-Métro est sur le canal 10, et Pierre Nadeau est à Radio-Canada.
Me JULES DESCHÊNES, c.r.
Conseiller juridique de la Commission :
Je sais que monsieur Nadeau travaille pour Radio-Canada, mais j’ai ici une transcription d’une émission de Télé-Métro, cinq (5) décembre mil neuf cent soixante-trois (1963), où monsieur Jacques Hébert est interrogé par monsieur Pierre Nadeau.
R Je m’excuse, je n’ai jamais été interrogé par Pierre Nadeau sur le canal 10, jamais.
Q Vous souvenez-vous d’avoir été interrogé par monsieur Pierre Nadeau, à un moment donné, au sujet de la parution de votre volume ?
R Oui, c’était au canal 2.
Q Alors, on vérifiera. J’ai ici le texte de cette entrevue, monsieur Hébert, et à la page 2, je lis la réponse suivante que vous avez donnée, à un moment donné, à monsieur Nadeau, et je cite :
« Je pense que jamais dans l’histoire de la justice au Canada un procès n’aurait jamais été aussi mal mené où la justice aurait été aussi bafouée à mon sens » Fin de la citation.
Est-ce que là, c’est le procès dont vous parlez, dont vous n’aviez pas lu 77 des 80 témoins ?
R C’est exactement ce procès là.
(À SUIVRE)
3 commentaires:
Êtes-vous en train de faire la preuve que n'importe qui peut être nommé au Sénat. Harper a peut-être raison de vouloir le changer.
André Côté, Montréal
Un écrivain qui écrit des livres sans même lire la documentation pertinente. Est-ce possible? Avant de dire qu'elle ne l'intéressait pas, il aurait dû la lire. Vraiment, ça fait pas sérieux.
Arthur Maillet, Bathurst
Jacques Hébert était contre la peine de mort, ce qui est tout à son honneur.
Malheureusement, il a cru que cela lui donnait le droit d'écrire n'importe quoi.
B. Poirier, Trois-Rivières
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