Pour écrire cette histoire, j'ai puisé l'essentiel de l'information aux Archives nationales à Rimouski dans les 2250 pages de transcriptions sténographiques et de procédures du procès de Coffin devant la Cour du banc de la reine. J'ai choisi de la raconter dans un docu-roman, car cette forme littéraire permet d'alléger la narration en présentant des dramatisations. Je les ai conçues en tirant les faits pertinents des transcriptions judiciaires. Tout ce qu'il y a de fiction, c'est la mise en contexte pour faire ressortir ces faits. Ce faisant, je n'avais pas à les présenter tous sous forme de déposition.
Pour autant que les archives me l'ont permis, j'ai rapporté au mieux les débats qui ont eu lieu à l'enquête du coroner, à l'enquête préliminaire et devant la Cour du banc de la reine. J'ai essayé de recréer l'ambiance qui y régnait surtout pendant le procès devant le jury.
13 novembre 2007
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